Je n'arrive pas à croire comme c'est bon. D'avoir ces amis-là. Quand je pense à ce dimanche 26 juin où j'ai vraiment touché le fond, à vomir ma solitude. A pleurer une heure dans mon lit, mordant mon poing, avec l'envie de disparaitre. ça faisait deux semaines que j'étais malade et quelque semaine que je ne trouvais plus ma place et que je me sentais vide et seule. Mais ça a commencé quand ma L* malade elle aussi est venue me porter un double-efferalgan bien serrée, ça m'a fait du bien, plus qu'elle me l'apporte que le médicament en lui-même. Et puis laisser tata le lendemain matin était dure, Puis c'est allé de mieux en mieux. Il y a eu l'aprem avec Co et la soirée avec les garçon, c'était génial et je me sentais bien avec eux. Puis je me suis mise à aller nager et ça me fait énormément de bien à chaque fois. Il y a eu l'aprem où N. & Q. m'ont fait mourir de rire et d'admiration. Puis la rencontre de mes futurs colloc dans ma futur ville, très rassurante. Puis la nuit avec My. L'aprem avec ma petite soeur en ville. Puis cette merveilleuse soirée. Puis le barbecue avec des amis de ma L*, c'était sympa. Les discussions de mieux en mieux avec Mg.
Il y a eu cet aprem là avec A. et X. comme tout au long de l'année. Aller au lac, le vent sur les passerelles, nos discutions sur tout. Nos rires. Nous trois, comme d'habitude. Me plaindre pour rire. Les traiter de cons. Les aimer tellement. La piscine après, les regards des gens de mon village. Hé oui, les deux personnes dont je suis presque le plus proche sont deux garçons. Mettre la bâche, c'est dure mais j'étais contente d'y arriver avec mes bras pas musclés. Et diner tous les trois. C'était simple mais c'était génial de m'occuper comme ça. Il me font rire, il sont géniaux. Nous trois c'est génial.
Il y a eu ces soirées avec E., regarder deux films géniaux. Me sentir bien à ses côtés. Ses commentaires qui font rires, son odeur, sa voix en vrai. Même s'il se moque de moi pour D., même s'il n'est pas fier de moi pour NZ et toutes ces histoires nulles. Ses bras très fort quand il part.
Et cet aprèm avec A. et M. l'accrobranche. Les tyroliennes, les "Gut" criés très fort. Les fois où je fais attendre M., les fois où l'on se moque des petits, les fois où il me fait rire, celles où je le fait rire. Les "puuutes". Les arbres qui bougent. La vue magnifique. Les fois où il sont trop grand, les fois où je suis trop petite. M. qui m'a tendu la main dans un filet que je n'arrivais pas à monter. Les fois où il a tendu les ateliers pour moi, de façon si attentionnée et parfaite. Voila mes mains sont défoncés maintenant mais j'ai adoré passé cette aprem là avec eux. J'ai beaucoup ri, crié. Et surtout j'ai adoré les voir tous les deux.
Il y a eu ces soirées avec E., regarder deux films géniaux. Me sentir bien à ses côtés. Ses commentaires qui font rires, son odeur, sa voix en vrai. Même s'il se moque de moi pour D., même s'il n'est pas fier de moi pour NZ et toutes ces histoires nulles. Ses bras très fort quand il part.
Et cet aprèm avec A. et M. l'accrobranche. Les tyroliennes, les "Gut" criés très fort. Les fois où je fais attendre M., les fois où l'on se moque des petits, les fois où il me fait rire, celles où je le fait rire. Les "puuutes". Les arbres qui bougent. La vue magnifique. Les fois où il sont trop grand, les fois où je suis trop petite. M. qui m'a tendu la main dans un filet que je n'arrivais pas à monter. Les fois où il a tendu les ateliers pour moi, de façon si attentionnée et parfaite. Voila mes mains sont défoncés maintenant mais j'ai adoré passé cette aprem là avec eux. J'ai beaucoup ri, crié. Et surtout j'ai adoré les voir tous les deux.