C'était la dernière semaine de première année. Et je regrette beaucoup de ne pas mieux en avoir profité de cette année de ces gens géniaux autour de moi. C'était agréable comme semaine. Discuter avec Fm lundi matin, parler de film et de bouquin. Boire du café et discuter. Le concert l'après midi. Beaucoup de stress pour la lumière mais au final, ça a très bien fonctionné. Elle était plutôt belle et on s'est amusé à commuter à deux avec K. Mais les changements rapides ont fait galérer As aux réglages caméra. Mardi plutôt tranquille. Je suis vraiment contente de mes résultats d'anglais, ce n'est pas un cours très important mais la prof à insisté pour qu'on relève que j'étais bonne en Anglais au conseil de classe. Je suis contente de n'avoir rien perdu de mes progrès de l'an dernier et j'espère progresser encore. Mercredi. J'étais tellement angoissée. J'ai regardé la projection avec une attention très limitée et j'ai fui au moment du pot. Parce que je ne me sentais pas capable de discuter avec qui que ce soit. J'ai cru renoncer à aller à la soirée de désintée des deuxièmes année. Je me suis forcée et j'ai bien fait. Je me suis vraiment amusée. Le visage de U tout près du mien. Di et Ji qui chantent la vie en rose, Ms qui chante Pokémon c'était très drôle. Ils étaient contents de leur soirée et ça faisait plaisir à voir. Discuter avec Mg, Ae et Le pendant longtemps, ça m'a fait plaisir. Potiner avec Ag et un art ap'. Mi a assuré à la fin. Bref, j'ai bien fait de me forcer un peu parce que je me suis bien amusée. Ne pas aller ans mon premier cour le lendemain. Dormir tout l'aprèm. Le théâtre génial le soir. Bertold Brecht est vraiment intéressant surtout par les temps qui courent. La physique le lendemain, P. qui nous raconte des histoires. La pizza du midi en terrasse, tous ensemble. Le tournoi de jeu vidéo usant. Et se dire au revoir. ça m'a fait bizarre. Je n'ai toujours pas réalisé que je ne les reverrais pas lundi. Ils vont me manquer. J'ai beaucoup ri avec eux malgré cette année si dure.

Par contre je suis complètement stressée, je ne vois même plus comment je pourrais me trouver un stage. Et pourtant, c'est vraiment important.
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C'est juste la liste de ceux que j'ai vu. Pour me souvenir, et quelque mots s'il y a vraiment quelque chose à dire.
   ♦  Blood simple, Eithan & Joel Cohen Le premier film des Cohen qui n'a pas grand chose à envier aux autres, très drôle et bien foutu.
  
♦  Morse, Thomas Alfredson Au début, j'ai trouvé l'esthétique irritante : les images en faibles profondeur de champs dans lesquelles on ne voit rien pendant 15min, ça m'a un peu énervée. Mais c'est vrai que c'est un film à mille lieues des clichés des films de vampires et qu'il nous tiens en haleine. (D'ailleurs en sortant de la séance, je suis allée mater tous les épisodes de Vampire Diairies qui me manquait, honte à moi)
   ♦  La vie des autres, Florian Henckel von Donnersmarc Il y a des longueurs mais le sujet est vraiment bien traité. C'est un bon film.
   ♦  Harvey Milk, Gus Van Sant Un de mes Gus Van Sant préféré. L'image est comme toujours magnifique. J'ai appris pas mal de chose en regardant ce film. J'ai appris aussi que Sean Penn pouvait sourire, et j'ai été impressionnée par sa performance, vraiment. 
   ♦  La taupe, Thomas Alfredson Je suis allée voir ce film plus pour son casting que pour son réalisateur puisque je n'ai pas trop aimé Morse, mais j'ai beaucoup aimé la mise en scène. Comment le jeu d'echec était installé. C'est vrai que le premier quart d'heure il faut vraiment s'employer pour comprendre qui est qui, mais ça vaut le coup. Je n'ai pas vraiment vu la fin venir. J'étais trop impressionnée par les performances de Gary Oldman et surtout celle de Tom Hardy (qui était plus..inattendue)
   ♦  Les couleurs de la montagne, Carlos César Arbeláez Je suis allée le voir pour occuper un dimanche et je n'ai pas regretté. Je n'ai pas adoré mais on s'attache plutôt aux personnages, surtout aux enfants je trouve. Et puis, j'ai retenu mon souffle à chaque fois que les enfants cherchent leur ballon, c'était très stressant.
   ♦  The machinist, Brad Anderson J'ai été un peu déçue par ce film. Christian Bale est très bon dedans, mais j'ai trouvé le scénario quand même prévisible. Je l'ai trouvé à mi-chemin entre Fight Club et Drive (même si celui-ci est sorti après, je l'ai vu avant j'y peux rien) sans apporter grand chose de plus au genre.
   ♦  Sur mes lèvres, Jacques Audiard J'avais vu De battre mon coeur s'est arrêté, et dans sur mes lèvres, j'ai retrouvé la même ambiance oppressante qui ne me plait pas vraiment. Le traitement de la violence ne me plait pas trop et je ne saurais dire pourquoi. Par contre l'intrigue est plutôt bien pensé et les acteurs plutôt bons.
   ♦  Extremement fort et incroyablement près,  Stephen Daldry Ce film m'a surprise, je ne m'attendais pas à ce qu'il me touche autant. L'histoire est inattendue. Les angoisses de l'enfant m'ont touchée, le jeu de l'acteur aussi.Un petit bémol pour la fin ultra-longue vraiment pas nécessaire mais pour l'ensemble j'ai aimé.
   ♦  Mystic river, Clint Eastwood La plupart des Eastwood que j'ai vu m'ont agacée ou pas vraiment intéressée. Mais celui-là est vraiment incroyable. Les acteurs sont géniaux. Le scénario aussi. J'aimerai revoir ce film qui m'a vraiment bousculée.
   ♦  Indignados, Toni Gatlif,J'ai trouvé ce film un peu trop silencieux et vide. Je n'ai pas compris ce que l'auteur cherchait à exprimer pourtant j'avais adoré Liberté et Swing, mais là c'était un peu trop osé pour moi.
   ♦  Les promesses de l'ombre, David Cronenberg Après avoir vu un extrait en cour, j'ai tenu à le voir malgré tous les préjugés que j'ai sur Cronenberg. Et j'ai adoré. L'ambiance m'a plu, le scénario aussi et j'ai été impresionné par Viggo Mortensen.
   ♦  A l'origine, Xavier Giannoli Je n'ai pas trop compris ce film; peut être parce que j'avais 39 de fièvre quand je l'ai vu. Je l'ai trouvé un peu long.
   ♦  Notti di Cabiria, Federico Fellini Je sais que je peux adoré ou bien ne pas comprendre Fellini, celui-ci fait partie de ceux que j'adore. Peut-être grace à Giulietta Masina. La fin m'a fait beaucoup réfléchir. J'ai adoré mais je ne saurais pas vraiment dire pourquoi.
   ♦  Tan de repiente, Diego Lerman Un peu étrange. J'ai beaucoup aimé la façon dont les magnifiques actrices était filmées.
   ♦  I wish, Hirokazu Koreeda Ce film a été un agréable surprise. Très léger et très fin. Il m'a emportée dans le rêve des gamins comme si j'avais 8 ans. Les acteurs sont plus qu'attendrissants, le scénario génial, la mise en scène aussi.
   ♦  Elephant, Gus Van Sant Il était temps que je le vois. Ce film fait vraiment froid dans le dos. On reconnait le style de Gus Van Sant et Harris Savides.
   ♦  Dogville Lars Von Trier Très fort. Je n'aurais jamais cru tenir les trois heures. Et pourtant je l'ai fait sans me forcer une fois intriguée par l'histoire. 
   ♦  L'affaire Thomas Crown, Noohn McTiernan La réalisaion abuse un peu de split et de zoom. Il y a des plans sans fins, des champs-contrechamps de deux même plans pendant dix minutes. Mas ça reste un film très intéressant à voir maintenant.
   ♦  Just a Kiss, Ken Loach J'avais peur que ce soit un peu niais. En faite, ça allait. Ce n'est pas mon Ken loach préféré mais les acteurs sont bons et le sujet intéressant.
   ♦  American Beauty, Sam Mendes J'ai été un peu déçue, par l'image entre autre. L'ambiance m'a mise très mal à l'aise même si c'était cherché, ça m'a un peu empêché de m'intéresser vraiment au film.
   ♦  La source des femmes, Radu Mihaileanu J'ai été un peu déçue. Après tout le bruit qu'il avait fait à Cannes l'an dernier, je m'attendais à mieux. Je l'ai trouvé un peu long et Leila Bekhti ne m'a pas convaincue.
   ♦  Des vents contraires, Jalil Lespert Sans être mon film préféré, j'ai passé un bon moment devant celui-ci. Les enfants sont attendrissants, les acteurs plutôt bons.
   ♦  A history of violence, David Cronenberg Un autre Cronenberg, plutôt surprenant et qui m'a captivée.
   ♦  Gloria, John Cassavetes J'ai adoré ce film, malgré ses longueurs. L'histoire m'a totalement captivée. Gena Rowlands est incroyable et son personnage vraiment génial. Les plans sous-exposé nous ont un peu blasée, mais à part ça, j'ai été vraiment contente de voir ce film au cinéma.
   The Pledge, Sean Penn Il m'a beaucoup rappelée Insomnia sans être aussi angoissant et beau. Il m'a plus choquée que prise de l'intrigue. Mais les acteurs sont bons, surtout l'enfant.
   The Prestige, Christopher Nolan Un peu déçue par ce film. Christian Bale crève l'écran c'est sûr. Mais à côté, Hugh Jackman est un peu pale, pas très convaincant. Une atmosphère simpa, une histoire plutôt bien pensé. Mais comme c'est le film préféré de K. je m'attendais à mieux.
   Gainsbourg, une vie héroïque, Joann Sfar Je ne m'attendais pas à aimer autant. J'ai vraiment beaucoup aimé l'atmosphère, l'idée du double. J'ai passé un bon moment, la mise en scène est plaisante.
   Will Hunting, Gus Van Sant Un des meilleurs rôle de Matt Damon. Robin Williams est vraiment génial aussi. Ce film m'a plu, j'aurais peut être aimé que Will soit un peu plus "rebel" mais je ne me suis pas ennuyée.
   La dame en noir, James Watkins J'ai adoré. J'ai adoré l'image, l'ambiance, les parti pris de ce côté-là. Je suis plutôt rentrée dans l'histoire et j'ai eu un peu peur, le scénario sans être génial est vraiment bien traité. La fin m'a plu. Et Daniel Radcliffe est pas trop mal
   Easy riders, Dennis Hopper J'aime la principe du film et c'est important de le voir pour ce qu'il est pour la rupture qui le suit. Mais j'ai un peu attendu qu'il se passe quelque chose. 
   Outsiders,  Francis Ford Coppola Ce film m'a rappelé La fureur de vivre. J'ai beaucoup aimé cet ambiance, la relation entre les jeunes frères m'a beaucoup attendrie. Il manque certaines choses au montage final pour que l'ensemble ait l'air semblable mais j'ai vraiment aimé ce film.
   Tetro, Francis Ford Coppola Un des meilleurs films que j'ai vu cet année. Je me suis beaucoup identifiée au jeune frère et j'ai voulu connaître le secret du plus vieux. Les acteurs sont très bons, le rythme pas trop lent. L'image magnifique.
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Soizic :
Moi je veux bien qu'on me dise que je suis folle. ça ne me dérange pas. Je suis folle, le le sais. Mais parfois j'aimerais bien que quelqu'un me dise ce que c'est exactement être fou. ça m'aiderait de l'entendre. Parce qu'il m'arrive de me dire que ce n'est pas si grave. Finalement. Ce n'est pas si grave. C'est simplement aller au bout. Là où les autres s'arrêtent, nous on continue. Tu vois ? On est sans limite. Alors je me dis peut-être, c'est tout simplement être soi-même, vraiment. Un courage supplémentaire peut-être. Tout simplement. Et peut-être que si tout le monde avait le courage d'être soi-même vraiment une fois dans sa vie, alors peut-être, je dis bien peut-être, qu'il n'y aurait plus de fou. Dans le sens où on serait tous fous. Peut-être.

Antoine :
On dit : être fou, c'est mal. Le dire c'est mal, le penser c'est bien. Être fou, c'est mal. Ah bon ? J'ai fait quelque chose de mal, moi ? Être fou, non, c'est comme être un chien, ou être une pierre, ou être un sèche-linge. Le sèche-linge, personne trouve ça mal qu'il soit un sèche-linge. La différence c'est que nous, on sait qu'on est des sèche-linge.

Ketty :
Les crises, les hallucinations, les voix qu'on entend, tout ça, c'est simplement pour se rassurer. Une manière de lutter contre les résistances du monde. Des armes qu'on fabrique pour résister. Mais pourquoi les gens s'acharnent-ils à nous démontrer qu'on a tort ? On ne devrait pas avoir à lutter. Si les gens acceptaient, on n'aurait pas besoin de lutter. Parce que cette lutte c'est une souffrance pour nous, faut pas croire.

Les autres :
Oui.

Ketty :
C'est une souffrance. On ne demande qu'une chose, c'est que ça s'arrête.

Les autres :
Oui.

Ketty :
Parce qu'on en a marre d'être seuls. Et puis merde, on est pas des pyromanes. On ne met pas le feu aux voitures. Alors les gens feraient mieux de jeter un oeil dans leur soupe. Parce quand ça tombe, ça tombe. Ça demande pas. Et ça peut tomber sur n'importe qui. On n'a pas choisi, d'accord ? De quoi ils ont peur ? Qu'on égorge leurs gosses ? Qu'est-ce qu'ils veulent ? Nous raser ? Et allez hop un petit remontant quand ça va pas. Ils ne savent faire que ça, nous remonter. On est pas des pendules.
 
Extrait de Abilifaie Léponaix, de Jean-Christophe Dollé.

J'ai chipé cette pièce de théâtre dans la chambre de ma petite soeur, hier après-midi. J'avais lu le résumé, et le sujet m'avait intéressé. La pièce parle de 4 schizophrènes et elle est inspirées de témoignages réels recueillis par une psychologue. Je l'ai lu en moins d'une heure. Elle traite très finement et avec humour mais sans caricatures du sujet de la folie. J'ai adoré le prologue que j'ai cité au-dessus, en comparaison, le reste de la pièce m'a un peu déçue mais dans l'ensemble, c'est vraiment touchant. Je crois que le sujet de la folie m'intéresse beaucoup ces temps-ci, parce que j'ai lu un autre roman sur le sujet cette semaine. Je crois que cela s'explique facilement par mon expérience nouvelle des crises de paniques récurrentes.  Je trouve cela à double tranchant, de perdre le contrôle : ça fait drôlement peur, mais c'est tellement inexplicable que c'est un peu fascinant. Je trouve que cette pièce parle bien de ça, et de l'isolement aussi. Il y a un passage qui me touche particulièrement moi la fumeuse angoissée, je l'ai noté , plutôt que dans cette article parce que je trouve que j'en ait déjà beaucoup révélé.

L'autre roman c'est : A ta place, de Karine Reysset.
Il est un peu plus noir et dérangeant. Je saurais pas résumer. C'est l'histoire de la relation très fortes entre deux femmes dont l'une est devenue schizophrène. Il est un peu dur. Il est par contre très bien écrit et je l'ai lu très vite. Je ne suis pas sûre de me rappeler très longtemps de ce roman mais sa lecture n'est pas désagréable et je me suis beaucoup identifiée aux deux femmes, autant à l'une qu'à l'autre et c'était déroutant.
 

Je crois qu'il faut que j'adapte mon blog à mes besoins du moment. Il m'a servi d'exutoire au début pour des peines qui me semblent un peu dérisoires aujourd'hui, puis il m'a servi de carnets à souvenirs, que j'aime lire pour me rappeler comment ces moments étaient chouettes, laisser ces bonheurs m'éclairer encore. Mais aujourd'hui, j'ai du mal à continuer tout ça, j'ai vraiment du mal à parler de ce que je vis. Parce que je sais que toutes mes sensations sont déformées par ma dépression. Même si parfois elle me laisse un peu de mou et je peux alors rire et sourire sincèrement, elle est là. Et tous les sentiments perçus par ce prisme, je m'en méfie et n'aspire qu'à les oublier. Biensûr, ce n'est pas aussi simple que ça. Puisque tant que je n'aurais pas mis de l'ordre dans toutes ces inquiétudes elles ne me lâcheront pas je sais. Je ne peux pas attendre l'accalmie comme un train en gare. Mais les écrire ici ne serai pas d'une grande utilité pas plus que d'alerter mes amis qui s'ils ont senti quelque chose pensent sûrement que je suis fatiguée. Après les 3 mois que je viens de passer, il est clair que c'est faux et que mon problème va bien plus loin que ça. Il est clair qu'il nécessite une aide professionnelle et je consacre pas mal de temps à la chercher. En attendant, ma mère reste un véritable catalyseur à angoisses et la maison de mes parents, un espèce de purgatoire qui me fait regretter d'être en vacances et de n'avoir rien de prévu. Pourtant aussi loin que je me souvienne, elle avait toujours été un refuge. C'est en gros, tout ce qu'il y a à dire de moi à l'instant. Mais le bon côté est que j'ai trouvé un moyen de fuir plutôt efficace : les bouquins, les films. Ce genre de choses. Je n'aime pas les blogs de critiques, je ne les lis pas ou peu mais je crois que j'aimerais me souvenir de ce que j'ai lu et vu, des mes points de vue là-dessus, alors voila tout ce blabla pour dire que les articles à ce sujets vont se multiplier ici. J'avais un peu commencer ici. J'ai tenu ces critiques pendant presque 6 mois mais elles ne sont pas claires et plus très à jour. C'était juste pour prévenir, pour prendre cette décision, parce que c'est en ce moment le seul moyen de continuer ce blog en écrivant quelque chose de sincère et c'est la seule chose qu'il a toujours été : sincère. 
 
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Le temps passe tellement vite. J'ai toujours pas mon stage, je désespère un peu. Mais sinon, il y a eu cette grosse presta où l'on s'est bien amusés, qui nous a encore plus soudés. Forcément, ranger des câbles de 75m à 1h00 du matin dans un couloir poussiéreux, ça ressert les liens. "Tu vas voir, c'est comme un deuxième anniversaire dans l'année." Rentrer très tard tout cassé. Après j'ai eu la grippe, et mes allergies m'ont pourri la vie. J4ai eu une mauvaise note dans la matière dure, j'ai eu une note moyenne en physique et j'étais déçue. Mais dans l'ensemble, ça va mieux. Le beau temps y est pour quelque chose. Mes week-end très occupés aussi. U-topie. Il y a aussi eu cette soirée où avec K. et Cm On s'est déguisés en vie de jeu vidéo et on s'est bien amusés. Constater que K. ne m'en veut pas ça m'a fait du bien. Et puis j'étais de meilleure humeur de toute façon. Voir X. en ville, aller en manif avec J. et Mg. Le lundi en ville au soleil. Et mon tatouage, il est très beau et tout le monde me le dit. Avant-hier,  deux personnes me l'ont dit dans le métro, qu'il était très beau, que l'endroit était bien. ça me touche. La semaine a défilé à une allure folle et pourtant je n'ai pas eu tellement de cours. Le jeudi midi tous ensemble au soleil était si agréables, les gestions qui me complimentent sur mon tatouage les unes après les autres. L'aller à Lyon vendredi, à 5 dans la 206, on avait tellement pas de place derrière. As si gentil. Mon entretien qui ne s'est pas super bien passé. Revoir A. enfin, et m'apercevoir qu'il me manquait. Croiser X. par hasard en ville. L'après midi au soleil à lire. Voir C. le soir, ça m'a fait plaisir. Et retrouver X. et Ba et R. en ville tout à l'heure. ça va mieux. Le soleil dissipe l'angoisse, je suis plus enjouée, plus sociable et la vie est plus douce.http://contingence.cowblog.fr/images/doubleexposurebyinformeld4dfa4k.jpg

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