...De celui qui demain, sera déjà si loin
que je ne serai plus sure, d'avoir connu ses bras. ♪
Je ne sais pas ce que j'aime le plus chez toi. Ton sourire ou ton mystère ? Je ne sais pas. Le fait que ce soit toi qui y ait pensé le premier peut-être aussi. Joue. Ne t'arrêtes pas là , je t'en prie, ou j'aurai un sale goût d'inachevé dans la bouche qui me donnera la nausée. La nausée de tout.
Que tu m'aimes, je m'en fous. Donnes-moi juste de l'espoir et des rêves. Ton cœur, qu'en ferais-je ? J'ai déjà bien trop à faire avec le mien. Souhaites que je t'aime et montre-le moi. Sers moi contre toi un moment. Embrasse moi. Juste le goût de tes lèvres. Et j'aimerai ton sourire, je ne vivrai que pour les instants où je le verrai sur ton visage. Pourras-tu être ça ?
Être mon évasion, ma bêtise, mon bonheur et mon chagrin.
Est-ce que je pourrai parfois me blottir dans tes bras et oublier mes angoisses, mes ténèbres, combien je me sens petite, faible et perdue.
J'ai écris ça à propos de Tx l'autre soir. Mais ça n'arrivera pas. C'est juste des mots comme ça.
Je peux parler de "faiblesse du cœur", de "l'auto-persuasion à la con", et j'avoue préférer le terme d'auto-persuasion tout court. C'est exactement ce que je me dis, quand je regarde mes 'proches' et que je me dis 'si je pouvais l'aimer, ce serait plus pratique', oui mais depuis quand l'amour est pratique ?
Bref.
J'ai eu ton mail, et j'y réponds lundi soir, au chaud sous ma couette ; là je suis censée bosser maths et histoire pour lundi.
Ne m'en veux pas trop :p ! Je pense à toi !
Bisouuus !